Santur à Zanjan

En arrivant à Zanjan pendant la nuit, nous avons eu la chance d'être invités à rester dans une famille géniale. Le grand-père, écrivain, nous joue ici un morceau de Santur pendant que son petit-fils râle parce que lui aussi aimerait faire comme papy!

Musique dans les montagnes de l'Alborz

Le vendredi, week-end islamique, les téhéranis se précipitent vers les montagnes de l'Alborz au Nord de la ville. Les sacs remplis de bonnes choses les gens vont marcher ou juste pique-niquer dans les montagnes depuis.

Le morceau enregistré ici est joué au Kemenshe, sorte de petit violon. Les concerts étant interdits en Iran (...), nous avons promis aux musiciens de ne pas mentionner leur noms ou celui du lieu.

Esfahan - le bazaar du cuivre

Tout près de la place de l'Imam, venez vous promener dans le bazaar du cuivre d'Esfahan, au rythme des coups de marteau des artisans.

Les chants de travail des femmes tissant un tapis

Dans le Dasht e Kavir (grand désert salé), nous nous sommes arrêtés pour trouver de l'eau dans un petit village. Les femmes qui faisaient la file pour acheter des tissus nous ont rapidement assaillis de questions avant de nous emmener dans leur atelier de confection de tapis. Jusqu'à 8 femmes alignées derrière la trame tissent avec agilité pendant des heures.

Yazd - Zurkhune, la maison de la force

A Yazd, nous sommes allés voir cette institution, la maison de la force, Zurkhune ("ZourHouné") en Farsi.

Dans un ancien réservoir d'eau, se tiennent les réunions de ce club de sport particulier. Dans la Zurkhune, les disciples se dépensent pour Allah, pendant qu'un des membres joue de la percussion en récitant des poèmes. La Zurkhune est une institution Soufi. Les athlètes iraniens s'abandonnent dans l'effort, pour l'amour de leur Dieu et pour se rapprocher de lui.

Les athlètes manipulent des quilles de 10kg chacune pendant de longues minutes au rythme des percussions, avant de tourner sur eux-mêmes à la façon des derviches turcs.

Yazd - Moslem Mirzazadeh

A Yazd, dans un bâtiment appelé la 'Prison d'Alexandre', Moslem, dit Siavash, vend ses oeuvres en céramique. De la vaisselle et des mosaïque. Il est doué, mais il est encore plus doué pour la musique... Siavash fabrique des instruments et en joue merveilleusement bien. Il a joué pour nous ses compositions, au setâr (instrument à 3 cordes, plus une corde de résonnance), au târ et au tambour.

Si vous passez par Yazd un de ces jours, allez lui rendre visite!